lundi 14 juillet 2014

Qui se cache vraiment derrière le trafic d’enfants ?


Qui se cache vraiment derrière le trafic d’enfants ? 

En suivant la piste de l’argent autour de la Planète


Un reportage exclusif de Kevin D. Annett

« Les cartels se sont lancés dans le trafic d’êtres humains, emprisonnant des candidats à l’immigration pour exiger de grosses sommes d’argent liquide pour passer la frontière, ou bien obligeant des candidat(e)s à l’immigration à servir de mules pour transporter la drogue ou à se prostituer.  L’ancienne Banque Wachovia (maintenant Wells Fargo), la Bank of America, et la Western Union ont gagné ou continuent de gagner des millions avec l’argent de la drogue collecté aux Etats-Unis et renvoyé au Mexique pour être blanchi …  General Dynamics, Motorola et Raytheon font de juteuses affaires en participant au projet de sécurisation des frontières (lancé en réponse au trafic d’êtres humains). » - The Washington Spectator, du 1er juillet 2014

« Le syndicat du crime appelé La Ndrangheta procure les enfants pour les meurtres sacrificiels aux Pays-Bas, ceux dont j’ai été témoin, y compris les parties de chasse à l’homme. On l’appelle « L’Octopus » (La Pieuvre) aux Pays-Bas. Ils sont impliqués jusqu’au cou dans le trafic d’êtres humains grâce au contrôle qu’ils exercent sur la police et les politiciens. » - Témoignage de « Joséphine », avocate en retraite et témoin oculaire, lors de sa déposition au Tribunal International de Droit Coutumier, Haute-Cour de Justice, à Bruxelles, en juin 2014

« La Ndrangheta est une organisation criminelle de type Mafieuse, originaire d’Italie (de Calabre, Ndt.), qui a largement remplacé l’ancien modèle de Cosa Nostra. La Ndrangheta est actuellement l’organisation criminelle la plus puissante et la plus riche d’Italie et peut-être d’Europe, avec un chiffre d’affaires annuel estimé à au moins  53 milliards € (soit 72 milliards $) et provenant du trafic de drogue, de l’extorsion de fonds et du blanchiment d’argent. » - Wikipedia.org

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Le crime rapporte beaucoup : c’est pourquoi il se perpétue. 
Et rien ne rapporte plus que le trafic d’êtres humains, tout particulièrement des enfants.


Le trafic d’enfants n’est pas simplement organisé pour une bande de malades pervers : c’est une industrie mondiale très rentable. Et ce fait est souvent brouillé par ceux qui se mobilisent pour accuser des personnes malfaisantes, alors qu’il s’agit  « de membres de familles royales qui ressemblent à des reptiles » ou de prêtres pédophiles et de papes, commettant des massacres systématiques d’un grand nombre d’innocents.

Les détails de cette industrie mondiale sont apparus, presque par hasard, lors du procès pénal du Tribunal International de Droit Coutumier, Haute-Cour de Justice contre  «le Pape François » Jorge Bergoglio et les autres complices pour trafic d’êtres humains, particulièrement des enfants.

Le procès a commencé par l’acte d’accusation des dirigeants des Eglises Catholique et Anglicane pour leur implication prouvée de sévices atroces infligés aux enfants ou leur complicité avec les auteurs. Ce procès tenu à Bruxelles, a depuis le mois de mai permis de mettre au grand jour des informations internes sur les cartels privés qui procurent des enfants pour être violés, torturés puis assassinés, et sur leurs liens avec les personnes actuellement incriminées par la Haute Cour de Justice.

Le mois dernier, j’ai été contacté par une avocate néerlandaise à la retraite dont l’ex-mari est un membre du syndicat du crime qui fournit les enfants et les adolescents utilisés pour « les parties de chasses rituelles » en Belgique. Je l’appellerai Joséphine. Nous avons discuté trois fois sur skype, et ses témoignages enregistrés figurent maintenant dans les archives du Greffe du Tribunal International de Droit Coutumier, Haute Cour de Justice.

Selon Joséphine, son ex-mari et d’autres membres de « La Pieuvre » - le vocable qui désigne la Ndrangheta, la nouvelle Mafia – ont fourni dix enfants et des adolescents qui ont été chassés et tués, puis mutilés, par des gens riches dans des forêts près d’Oudergem en Belgique, au printemps 2000 et en 2004.

« J’étais là, j’ai assisté à tout. On m’a dit qu’il s’agissait d’enfants issus de centres de détention pour mineurs de Bruxelles. On les lâchait en liberté dénudés dans la forêt puis, on les chassait et on les tuait comme le gibier. Parmi les meurtriers figuraient le Prince Friso des Pays-Bas et un ami de son épouse, le millionnaire George Soros, le Premier Ministre néerlandais Mark Rutte, et le Prince Albert de Belgique. Après avoir tué les jeunes gens ils leur ont coupé le pénis et les ont brandis comme des trophées, sous les hourras et les applaudissements. »

Etant confirmées par d’autres témoignages internes, ces descriptions macabres pourraient nous faire perdre de vue le panorama de l’histoire dans sa globalité, et les motifs sous-jacents du crime. La Ndrangheta, par exemple se procure la jeune « chair à canon », grâce à ses liens étroits avec l’église Catholique Romaine opérant des enlèvements d’enfants sous la direction des officiels du Vatican. Selon Matteo Macceo, un membre du Parti Radical au Parlement italien :
« La Mafia moderne est constituée des mêmes personnes qui dirigent l’église catholique et le gouvernement Italien. Ils sont indissociables, ils font tous partie du même club. Et leur préoccupation principale est leurs actifs, une richesse qui provient du crime organisé : le trafic de drogue, le trafic d’armes, et le trafic d’êtres humains. » (Extrait d’une déclaration faite à l’auteur à Rome, en avril 2010)

L’église Catholique est de loin, sans équivoque le plus grand trafiquant de nouveau-nés dans l’histoire de l’humanité, engrangeant des millions chaque année en faisant le commerce des nouveau-nés catholiques avec des orphelinats, des centres d’aide sociale à l’enfance et des tiers anonymes. Rien qu’en Espagne, 300 000 enfants ont fait l’objet d’un trafic entre 1940 et 1980, rapportant plus de 20 milliards $. (cf. témoignage d’Antonio Barrero devant l’ICLCJ). Et l’actuel Pape François, lui-même sous le coup d’une inculpation, est l’organisateur de ce genre d’opération marketing sur les enfants, de plus de 30 000 prisonniers politiques en Argentine lors de son passage de façade à la junte militaire dans les années 1970 et 1980. (Témoignage du Témoin N° 32 devant l’ICLCJ)

Ce commerce d’esclaves officiel  est directement lié à des organisations criminelles telles que la Ndrangheta qui fournit les débouchés commerciaux catholiques, marchandant les bébés dans des lieux sûrs, contrôlés par le syndicat du crime, assurant la protection politique et juridique de leurs associés au Vatican. 

« Pour chaque prêtre pédophile ou chaque religieuse vendant un nouveau-né, il y a dix autres personnes qui les protègent, mettent de l’huile dans les rouages, et payent les pots-de-vin, afin que tout se passe en douceur et dans la dissimulation. Et la Ndrangheta montre sa vilaine tête dans tout ce « business » a déclaré un membre du Bureau du Procureur général de la Cour de Bruxelles, qui conduit les poursuites contre Jorge Bergoglio et les autres.

Et encore, la Ndrangheta n’est qu’une partie visible d’un cartel mondial plus vaste spécialisé dans le trafic d’êtres humains esclaves, modernisé et financé par les principales banques à travers le blanchiment régulier de l’argent de la drogue au profit des banksters. Ces banques comprennent la Bank of America, J.P Morgan et HSBC, laquelle a récemment reconnu avoir blanchi plus de 2 milliards $ de recettes provenant de la drogue pour les syndicats du crime Mexicains. 

Cet empire économique est étroitement lié aux divers trafics de drogue et d’êtres humains renforcé politiquement par le recours régulier à la prostitution enfantine, par les agences de renseignements. L’activité sert à faire chanter les politiciens et dirigeants politiques en vue pour les contrôler. « La CIA admet avoir trempé dans le trafic d’enfants, selon ses révélations en 2008 affirmant que depuis la Guerre du Vietnam elle avait fait fonctionner « ce guet-apens» du cercle de la prostitution enfantine afin de faire pression sur leurs opposants politiques, à Bangkok et à Séoul. » (Rock Creek Free Press, Washington)

Tout est dit, la récente révélation impliquant les familles royales et des églises dans les sacrifices rituels d’enfants ne semble représenter qu’une des pointes de l’Iceberg du crime organisé dans les hautes-sphères. De fait, la présence  conjointe de la Ndrangheta et son lien direct avec le Vatican dans tous ces crimes envers les enfants,  ont fait rebondir les poursuites contre le Pape François et les autres qui, comme les accusés nazis de Nuremberg, sont les symboles d’un système entier de corruption et de mort qui doit être définitivement anéanti.
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La publication de nouvelles preuves et mises à jour de la part de la Haute Cour de Bruxelles se poursuivront.
Le 14 juillet 2014