Qui se cache vraiment derrière le trafic
d’enfants ?
En suivant la piste de l’argent autour de la Planète
Un reportage exclusif de Kevin D. Annett
« Les cartels se sont lancés dans le
trafic d’êtres humains, emprisonnant des candidats à l’immigration pour exiger
de grosses sommes d’argent liquide pour passer la frontière, ou bien obligeant
des candidat(e)s à l’immigration à servir de mules pour transporter la drogue
ou à se prostituer. L’ancienne Banque
Wachovia (maintenant Wells Fargo), la Bank of America, et la Western Union ont
gagné ou continuent de gagner des millions avec l’argent de la drogue collecté
aux Etats-Unis et renvoyé au Mexique pour être blanchi … General Dynamics, Motorola et Raytheon font
de juteuses affaires en participant au projet de sécurisation des frontières
(lancé en réponse au trafic d’êtres humains). » - The Washington Spectator, du 1er juillet 2014
« Le syndicat du crime appelé La
Ndrangheta procure les enfants pour les meurtres sacrificiels aux Pays-Bas,
ceux dont j’ai été témoin, y compris les parties de chasse à l’homme. On
l’appelle « L’Octopus » (La Pieuvre) aux Pays-Bas. Ils sont impliqués
jusqu’au cou dans le trafic d’êtres humains grâce au contrôle qu’ils exercent
sur la police et les politiciens. » - Témoignage
de « Joséphine », avocate en retraite et témoin oculaire, lors de sa
déposition au Tribunal International de Droit Coutumier, Haute-Cour de Justice,
à Bruxelles, en juin 2014
« La Ndrangheta est une organisation
criminelle de type Mafieuse, originaire d’Italie (de Calabre, Ndt.), qui a
largement remplacé l’ancien modèle de Cosa Nostra. La Ndrangheta est
actuellement l’organisation criminelle la plus puissante et la plus riche
d’Italie et peut-être d’Europe, avec un chiffre d’affaires annuel estimé à au
moins 53 milliards € (soit 72 milliards
$) et provenant du trafic de drogue, de l’extorsion de fonds et du blanchiment
d’argent. » - Wikipedia.org
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Le crime rapporte beaucoup : c’est pourquoi il se
perpétue.
Et rien ne rapporte plus que le trafic d’êtres humains, tout particulièrement des enfants.
Le trafic d’enfants n’est pas simplement organisé
pour une bande de malades pervers : c’est une industrie mondiale très rentable.
Et ce fait est souvent brouillé par ceux qui se mobilisent pour accuser des
personnes malfaisantes, alors qu’il s’agit « de
membres de familles royales qui ressemblent à des reptiles » ou de
prêtres pédophiles et de papes, commettant des massacres systématiques d’un
grand nombre d’innocents.
Les détails de cette industrie mondiale sont
apparus, presque par hasard, lors du procès pénal du Tribunal International de
Droit Coutumier, Haute-Cour de Justice contre «le Pape François » Jorge Bergoglio
et les autres complices pour trafic d’êtres humains, particulièrement des
enfants.
Le procès a commencé par l’acte d’accusation des
dirigeants des Eglises Catholique et Anglicane pour leur implication prouvée de
sévices atroces infligés aux enfants ou leur complicité avec les auteurs. Ce
procès tenu à Bruxelles, a depuis le mois de mai permis de mettre au grand jour
des informations internes sur les cartels privés qui procurent des enfants pour
être violés, torturés puis assassinés, et sur leurs liens avec les personnes
actuellement incriminées par la Haute Cour de Justice.
Le mois dernier, j’ai été contacté par une
avocate néerlandaise à la retraite dont l’ex-mari est un membre du syndicat du
crime qui fournit les enfants et les adolescents utilisés pour « les parties
de chasses rituelles » en Belgique. Je l’appellerai Joséphine. Nous avons
discuté trois fois sur skype, et ses témoignages enregistrés figurent
maintenant dans les archives du Greffe du Tribunal International de Droit
Coutumier, Haute Cour de Justice.
Selon Joséphine, son ex-mari et d’autres
membres de « La Pieuvre » - le vocable qui désigne la Ndrangheta, la
nouvelle Mafia – ont fourni dix enfants et des adolescents qui ont été chassés
et tués, puis mutilés, par des gens riches dans des forêts près d’Oudergem en
Belgique, au printemps 2000 et en 2004.
« J’étais là, j’ai assisté à tout. On m’a
dit qu’il s’agissait d’enfants issus de centres de détention pour mineurs de Bruxelles.
On les lâchait en liberté dénudés dans la forêt puis, on les chassait et on les
tuait comme le gibier. Parmi les meurtriers figuraient le Prince Friso des
Pays-Bas et un ami de son épouse, le millionnaire George Soros, le Premier
Ministre néerlandais Mark Rutte, et le Prince Albert de Belgique. Après avoir
tué les jeunes gens ils leur ont coupé le pénis et les ont brandis comme des
trophées, sous les hourras et les applaudissements. »
Etant confirmées par d’autres témoignages
internes, ces descriptions macabres pourraient nous faire perdre de vue le
panorama de l’histoire dans sa globalité, et les motifs sous-jacents du crime.
La Ndrangheta, par exemple se procure la jeune « chair à canon »,
grâce à ses liens étroits avec l’église Catholique Romaine opérant des
enlèvements d’enfants sous la direction des officiels du Vatican. Selon Matteo
Macceo, un membre du Parti Radical au Parlement italien :
« La Mafia moderne est constituée des mêmes
personnes qui dirigent l’église catholique et le gouvernement Italien. Ils sont
indissociables, ils font tous partie du même club. Et leur préoccupation principale
est leurs actifs, une richesse qui provient du crime organisé : le trafic
de drogue, le trafic d’armes, et le trafic d’êtres humains. » (Extrait d’une déclaration faite à l’auteur
à Rome, en avril 2010)
L’église Catholique est de loin, sans
équivoque le plus grand trafiquant de nouveau-nés dans l’histoire de l’humanité,
engrangeant des millions chaque année en faisant le commerce des nouveau-nés
catholiques avec des orphelinats, des centres d’aide sociale à l’enfance et des
tiers anonymes. Rien qu’en Espagne, 300 000 enfants ont fait l’objet d’un
trafic entre 1940 et 1980, rapportant plus de 20 milliards $. (cf. témoignage d’Antonio Barrero devant l’ICLCJ).
Et l’actuel Pape François, lui-même sous le coup d’une inculpation, est
l’organisateur de ce genre d’opération marketing sur les enfants, de plus de
30 000 prisonniers politiques en Argentine lors de son passage de façade à
la junte militaire dans les années 1970 et 1980. (Témoignage du Témoin N° 32 devant l’ICLCJ)
Ce commerce d’esclaves officiel est directement lié à des organisations
criminelles telles que la Ndrangheta qui fournit les débouchés commerciaux
catholiques, marchandant les bébés dans des lieux sûrs, contrôlés par le
syndicat du crime, assurant la protection politique et juridique de leurs
associés au Vatican.
« Pour chaque prêtre pédophile ou chaque
religieuse vendant un nouveau-né, il y a dix autres personnes qui les protègent,
mettent de l’huile dans les rouages, et payent les pots-de-vin, afin que tout
se passe en douceur et dans la dissimulation. Et la Ndrangheta montre sa
vilaine tête dans tout ce « business » a déclaré un membre du Bureau
du Procureur général de la Cour de Bruxelles, qui conduit les poursuites contre
Jorge Bergoglio et les autres.
Et encore, la Ndrangheta n’est qu’une partie visible
d’un cartel mondial plus vaste spécialisé dans le trafic d’êtres humains
esclaves, modernisé et financé par les principales banques à travers le
blanchiment régulier de l’argent de la drogue au profit des banksters. Ces
banques comprennent la Bank of America, J.P Morgan et HSBC, laquelle a
récemment reconnu avoir blanchi plus de 2 milliards $ de recettes provenant de
la drogue pour les syndicats du crime Mexicains.
Cet empire économique est étroitement lié aux
divers trafics de drogue et d’êtres humains renforcé politiquement par le recours
régulier à la prostitution enfantine, par les agences de renseignements. L’activité
sert à faire chanter les politiciens et dirigeants politiques en vue pour les
contrôler. « La CIA admet avoir trempé dans le trafic d’enfants, selon ses
révélations en 2008 affirmant que depuis la Guerre du Vietnam elle avait fait
fonctionner « ce guet-apens» du cercle de la prostitution enfantine afin
de faire pression sur leurs opposants politiques, à Bangkok et à Séoul. » (Rock Creek Free Press, Washington)
Tout est dit, la récente révélation impliquant
les familles royales et des églises dans les sacrifices rituels d’enfants ne
semble représenter qu’une des pointes de l’Iceberg du crime organisé dans les
hautes-sphères. De fait, la présence conjointe de la Ndrangheta et son lien direct
avec le Vatican dans tous ces crimes envers les enfants, ont fait rebondir les poursuites contre le
Pape François et les autres qui, comme les accusés nazis de Nuremberg, sont les
symboles d’un système entier de corruption et de mort qui doit être
définitivement anéanti.
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La publication de nouvelles preuves et mises à
jour de la part de la Haute Cour de Bruxelles se poursuivront.
Le 14 juillet 2014