mercredi 23 juillet 2014

Génocide, Notre crime sans conséquence : La grande dissimulation continue

Génocide, Notre crime sans conséquence :
La grande dissimulation continue 
Et quelques réflexions sur ce qui va suivre

 

Par Kevin D. Annett, le 6 juillet 2014

http://youtu.be/EdoAuxxrS0k

Les enfants qui sont systématiquement violés et torturés ne sourient pas, malgré la convenance de façade qu'ils doivent afficher sur les photographies officielles. C'est pourquoi j’ai su que les livres qui venaient de paraître, sur lesquels je suis tombé sur un stand de journaux de Vancouver, n’étaient pas simplement des conneries, mais étaient très bien conçus, avec des images en couverture principale de jeunes aux visages joyeux, de jeunes bien soignés. Mais du fait que les livres sont en rapport avec les pensionnats Indiens, le mensonge est non seulement acceptable, mais nécessaire aujourd'hui plus que jamais, ici au Canada.

Notre Grand Nord Blanc a traversé une période difficile, récemment, en luttant pour faire face aux faits que j’ai, plus que quiconque, contribués à rendre publics ; des charniers d’enfants indiens de couleur, les témoins oculaires qui ont creusé les tombes, et les volumes de statistiques et de lettres prouvant que plus de 50 000 innocents ont été délibérément anéantis par l'église et l'Etat pour se débarrasser du «problème indien». Des responsables politiques nationaux, comme Gilles Duceppe, ont commencé à évoquer publiquement « des morts en masse », évocation accompagnée des bêtises habituelles sur « les excuses et la réconciliation », et le mot de G.. a même surgi au cours des références médiatiques sur les «écoles». Mais les choses en sont restées là; et cette période est terminée.

De nos jours, l'horloge est délibérément ramenée en arrière, et rapidement, le souvenir et la raison sont une fois de plus attaqués par un Big Brother qui a plus que du sang sur les mains. Maintenant, nous allons revenir à l'époque où les dirigeants de l’église responsables de ce crime et de sa dissimulation, peuvent affirmer publiquement sans conséquences, que leurs motivations concernant les Indiens n'étaient que pures. Et les charniers d’enfants, bien sûr, demeurent fermés.

Toute l’histoire d’un meurtre concocté de l’intérieur est une fois de plus officiellement effacée, comme le sont ceux qui comme moi l’ont méticuleusement documentée, et l’ont fourrée sous le nez du « tout-Canada ». Et puisque c'est tout ce à quoi l’on peut s‘attendre, je suppose que l'on doit soit simplement en rire, soit dégainer l'épée à nouveau.

Franchement, il est plus difficile pour moi une fois encore de lever l'ancienne bannière de l'Holocauste Canadien, car les gens sont généralement plus bêtes de nos jours, y compris les «progressistes» autoproclamés qui n'aiment pas entendre parler de crimes commis dans leur propre arrière-cour. La politique éditoriale qui est en place dans les principaux médias du Canada, qui est de ne jamais mentionner mon nom ou citer mon travail, a eu son effet mortel. Et même si nos campagnes contre la torture des enfants en haut-lieu se sont répandues dans le monde, directement inspirées par notre divulgation réussie sur le génocide au Canada ; c'est comme si ce crime n'avait jamais eu lieu, car il n'y a pas eu de conséquences pour ceux qui en sont responsables. Il n'y en aura jamais, en vertu de la convention canadienne en vigueur.

Ce qui nous amène, comme on dit, au cœur de la question.
Nous ne devrions pas avoir à vivre avec le crime, ou à le financer. C'est juste la décence la plus élémentaire. Mais la loi va plus loin et dit que nous n’avons pas à laisser faire et ne devons pas nous associer à de tels actes malveillants. Et cette simple vérité commence tout juste à entrer dans le crâne bien épais du Canada, à savoir que nos dirigeants et nos églises ont non seulement rendu nulle notre allégeance à leur égard de par leurs fautes, mais ont également été déchus de leur droit d’exister. Le Canada, tel que vous le connaissiez, n’est plus.

J'ai dit cela récemment à l’un des agents de la Police Montée locale, en lui montrant l’ordre de démission émis envers lui et ses semblables par ordonnance du Tribunal International de Droit Coutumier condamnant son supérieur à Londres qui s’appelle elle-même la reine des crimes contre l’humanité. 

"Vous n'êtes pas dans l’obligation de servir une criminelle " J'ai informé le flic. Il a eu l'air troublé, mais il n’a pas contesté, et a emporté l’ordonnance avec lui.

De plus en plus d’événements se conjuguent pour former la vague de changement, alors qu’une simple contestation cède la place à quelque chose de tout à fait nouveau dans notre pays : une réappropriation active de notre pays, sous la bannière d'une nouvelle nation appelée la République du Kanata. 

Certaines des nouvelles âmes brillantes de ce mouvement sont beaucoup plus jeunes que moi, heureusement. L'une d'elles est une jeune agricultrice du Saskatchewan, qui a fait reculer l’administration fiscale frauduleuse du gouvernement canadien, en lui faisant renoncer à saisir sa terre, en utilisant nos preuves pour montrer que les Tribunaux de la « Couronne » n’ont plus ni légitimité ni statut juridique au Canada.

Un autre tueur gigantesque appartenant à notre mouvement, Steve Finney, de Kitchener, en Ontario, a forcé les tribunaux locaux à renoncer à leurs activités de trafic d’enfants, et même à leur faire reconnaître qu'ils opèrent en tant que tribunaux de fait plutôt qu’en tant que tribunaux publics légaux.

Steve et la jeune agricultrice et des douzaines de gens comme eux se rassembleront à Winnipeg le 27 Octobre prochain pour aider à fonder une nation libre de tout le passé criminel et de la corruption. Cette République du Kanata sera l'une de nos réponses au Grand Mensonge du Canada, et à tous ces enfants massacrés toujours sous terre, et d’autres qui sont victimes du trafic et du viol par des hommes riches et protégés à l’heure où nous parlons. 

Alors que le temps de brandir des pancartes devant les églises tueuses d’enfants est peut-être révolu, le temps de saisir ces églises est arrivé ! Et cela vaut pour les Tribunaux aussi bien que pour le Parlement, et aussi toutes ces banques d’argent et d'or qui drainent la richesse de notre pays. 

Où une porte se ferme, une autre s'ouvre toujours: même quand il s'agit de génocide. Donc, longue vie à la République, restez à l'écoute pour plus d’information et de comptes-rendus du front … et montez à bord ! 

http://youtu.be/EdoAuxxrS0k

Pour plus d’informations sur la Convention Constitutionnelle fondant la République du Kanata à Winnipeg le 27 Octobre, écrivez à republicofkanata@gmail.com